Ce premier gribouillage est à l’origine des collages suivants; réalisé par ennuie, manque d’idée, il a permis l’imagination des suivants : l’univers enfantin.
O.
L’aquarelle, l’exploration de cette technique reste encore longue mais je peux néanmoins déjà dire que c’est d’une délicatesse qui se pose sur la pointe du pinceau et lorsque sur la feuille l’aquarelle se pose, elle envahit l’espace comme un nuage emporté par le vent.
O.
L’impression lorsque j’ai fais ces photos fût troublante, je m’approchais lentement de ces fleurs comme si je risquais de les effrayer, alors délicatement je pénétrais leur intimité et les photographiais au plus près, au cœur de leurs entrailles.
Je repense alors à Georgia O’keeffe qui à travers ces gros plan de fleurs a amené a une sexualisation de la fleur.
O.
Le surréalisme est passionnant à travailler, il laisse place à la démesure, les proportions s’absentent, l’imagination peut pleinement déborder. Le surréalisme m’envoi dans des lieux envoûtants, mystérieux, avec une part de magie (je vous incite par ailleurs a voir le film « Alice au pays des merveilles » de Tim Burton qui propose un monde totalement surréaliste et magique). Jai aimé travailler les différentes matières, les marier, l’aquarelle se laissant emporter dans la douceur d’un écrin de pastel.
O.
